
Du tartare dans votre assiette
Recette proposée :
Tartare de cerf rouge du Québec et sa purée de canneberges à la rousse forte aux fruits de la Barberie
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Burger de cerf rouge au gouda fumé et chutney de pommes McIntosh |
Toute personne qui élève des cervidés pour son compte, ou moyennant une rémunération pour d’autres, doit comprendre qu’il a, de ce fait, des responsabilités à donner adéquatement les soins indispensables au bien-être des animaux. Il doit donc s’assurer que lui-même et son personnel possèdent les connaissances sur les besoins élémentaires des cerfs selon l’espèce ou les espèces en élevage, sexe, âge des animaux, saison, etc.
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La connaissance du cerf, c'est-à-dire, ses habitudes, ses comportements à différentes périodes de l’année, liée à l’utilisation d’installations et d’équipements de contention adéquats est indispensable pour assurer les manutentions des animaux sans risque, tant pour l’homme que pour la bête. Pour ce faire, l’éleveur verra à s’adjoindre des personnes reconnues pour leur calme et leur patience. Il doit être capable de déceler les signes cliniques de malaise ou de maladie et consulter un vétérinaire ayant les connaissances requises pour traiter les cervidés.
L’éleveur doit posséder les ressources financières pour aménager et entretenir des installations adéquates, fournir de l’eau potable, une nourriture abondante et de qualité, faire les traitements préventifs (vermifuges, vaccins et autres), fournir les soins vétérinaires lorsque la santé des animaux l’exige, et poser toutes les actions indispensables pour assurer le bien-être des animaux.
L’aspect financier ne doit, en aucun temps, être une raison pour négliger de porter une aide à un animal en détresse ou de retarder indûment un traitement approprié à l’état de l’animal.